A justifié sa décision une cour d’appel qui, pour relaxer un maire, a retenu que des enseignants syndiqués avaient, par leur comportement, instauré un débat politique avec lui, dans le contexte duquel il avait répondu à leur provocation par des propos n’ayant pas dépassé les limites de la liberté d’expression.
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Source:: Droit Pénal Dalloz