Depuis le 2 juin, une douzaine de prévenus, dont six seulement sont présents, est jugée par le tribunal correctionnel de Paris pour escroquerie en bande organisée et blanchiment. Ils sont soupçonnés d’avoir éludé le paiement de 283 millions d’euros – la somme globale est estimée à 1,7 milliard d’euros – de TVA sur le marché des quotas de CO2. La » casse du siècle